Le Ministre gabonais de l'Agriculture et de l'Alimentation Charles Mve Ellah a  reçu à son tour en audience le 12 octobre dernier deux ambassadeurs au Gabon celui du Japon et de la Serbie mais aussi le coordinateur sous-régional et représentant de la FAO. Ces rencontres se situent dans le cadre de discussion portant sur les éventuels investissements et accompagnement du pays vers l'aboutissement d'une production efficace des produits locaux. Il sied de rappeler que la production des produits locaux constitue un véritable défi pour le développement économique du Gabon. Au cours de cette visite de courtoisie, les deux parties ont passer en revue les opérations et les projets prioritaires de court-terme mis en œuvre par le gouvernement avec le soutien de la FAO.

En plus de cela, le lancement imminent des opérations de collecte, des données, dans le cadre de la deuxième phase du projet de Recensement Général de l'Agriculture (RGA), a figuré au centre de cette première entrevue.

 

Une rencontre qui renforce les liens

Le Ministre de l'Agriculture et de l'Alimentation Charles Mve Ellah a reçu de la part de ses interlocuteurs des encouragements face aux différents défis qu'il rencontre dans l'exercice de ces fonctions. Pour ce qui est des préparatifs relatifs à l'organisation de la journée mondiale de l'alimentation, le coordinateur sous-régional et représentant de la FAO, Arslen Bounemra n'a pas hésité à réaffirmer la disponibilité de l'organisation qu'il représente. Dans l'optique d'accompagner prioritairement les initiatives et les projets du gouvernement dans la promotion de la sécurité alimentaire et nutritionnelle au Gabon. Relevons que la sécurité alimentaire dans un pays désigne une situation dans laquelle tous les individus ont, en tout temps, un accès physique, social et économique à une nourriture suffisante, saine et nutritive qui satisfait à leurs besoins et préférences alimentaires et leur permet de mener une vie saine et active. Cette rencontre entre le Ministre chargé de l'Agriculture, les ambassadeurs de la Serbie et du Japon mais aussi le coordinateur sous-régional et représentant de la FAO, s'avère être d'autant plus constructive.

Car elle a favorisé dans une certaine mesure une meilleure collaboration entre les parties prenantes.

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